Welche Antwort gilt nun?
(Es geht um die Defizitgarantie des Bundes bei einer allfällligen Olympiade im Bündnerland)
Clevere Verwirrtaktik oder schlechtes Gedächtnis des Bundespräsidenten?
Die diffusen Antworten Ueli Maurers zu Defizitgarantie:
Im "Bündner Tagblatt": Am Mittwoch 30. Januar präsentiert Maurer die Idee eines "Nachtragskredites", falls das Geld nicht reiche.
In der "SonntagsZeitung" antwortet er auf die Frage, ob der Bund eine Defizitgarantie über nehme:
"Nein!"
Am gleichen Tag sagt er dem "Sonntags-Blick":
"Der Bund über nimmt die Defizitgarantie für Olympia"
Das Sportdepartement schreibt dann auf eine offizielle Anfrage:
"Der Bund würde ein Defizit übernehmen, aber es wird kein Defizit geben!"
Kommentar: Schön wenn jemand so "klar", "unmissverständlich" und "eindeutig", sogar mit hellseherischen Fähigkeiten ausgestattet antworten kann. Solche Antworten sind wir uns von Ueli Maurer nicht gewohnt. Ich kann mir kaum vorstellen, wer nun genau weiss, was Sache ist. Ich jedenfalls nicht.
Freitag, 8. Februar 2013
Ich zitiere 24 Heures:
Lance Armstrong a
avoué. Mais a-t-il été crédible? Questionné, Marcus Knill, connu en
Suisse alémanique pour son expertise dans le domaine du coaching et de
la communication, ne cache pas ses doutes.
Les aveux de l'ex-champion cycliste «étaient bien préparés et bien mis en scène», observe Marcus Knill sur Tagesanzeiger.ch. «Pourtant, on ne peut considérer ses propos comme un véritable repentir».
Pas plus crédible aujourd'hui qu'hier
D'anciens documents ont été rediffusés durant l'interview, dans lesquels Armstrong mentait en vrai professionnel, constate le Schaffhousois. «Ces images sont pour lui très dommageables: elles décrédibilisent aujourd'hui encore toute réponse plausible venant de lui».
«Trop longtemps, Armstong a trompé tout le monde de manière trop parfaite, en vrai gestionnaire du mensonge, et a expliqué de manière étonnamment crédible qu'il était propre. Pourquoi devrait-on le prendre aujourd'hui au sérieux?», s'interroge Marcus Knill.
On peut soupçonner Armstrong de s'être entraîné à argumenter et à dérouler toute la chaîne logique de son discours, ajoute l'expert suisse. Il l'a encore fait, lors de ses aveux, en revenant sur l'image du combattant intrépide qu'il a été durant son enfance et lorsqu'il a dû lutter contre le cancer.
Une gestuelle révélatrice
Malgré son argumentation bien huilée, et bien qu'apparemment détendu sur sa chaise, Lance Armstrong «a laissé transparaître de nombreux signaux montrant que quelque chose ne jouait pas», relève par ailleurs Marcus Knill. Il se tenait par exemple constamment le visage.
«Après avoir parlé, au moment d'écouter les questions, il se pinçait les lèvres de manière singulière, comme s'il voulait se dire à lui-même: fais gaffe de ne rien dire de faux». Son sourire était de même travaillé.
Son flux verbal s'est fait plus hésitant au moment des questions délicates. Tout en répondant, il a régulièrement détourné son regard et perdu le contact visuel avec son interlocutrice, note l'expert.
«On a pu avoir parfois l'impression qu'il cherchait la bonne réponse sur un téléprompteur. Le public capte et interprète ces signaux de manière inconsciente».
Discrédit
Dans certaines de ses réponses, Lance Armstrong s'est par ailleurs discrédité. Tel a été le cas lorsqu'il a affirmé que son don de 125'000 dollars aux autorités de lutte contre le dopage n'était pas une tentative de corruption.
Il en va de même lorsqu'il a déclaré que le doping n'était pas perçu à l'époque comme une tricherie. «De mon point de vue, de telles affirmations le desservent. Elles signalent son incapacité à comprendre la situation et dévalorisent ses aveux». (Newsnet)
Confession
«Armstrong aurait trompé un détecteur de mensonges»
Par Marc-Henri Jobin. Mis à jour le 19.01.2013 4 Commentaires
Les aveux de l'ex-champion cycliste «étaient bien préparés et bien mis en scène», observe Marcus Knill sur Tagesanzeiger.ch. «Pourtant, on ne peut considérer ses propos comme un véritable repentir».
Pas plus crédible aujourd'hui qu'hier
D'anciens documents ont été rediffusés durant l'interview, dans lesquels Armstrong mentait en vrai professionnel, constate le Schaffhousois. «Ces images sont pour lui très dommageables: elles décrédibilisent aujourd'hui encore toute réponse plausible venant de lui».
«Trop longtemps, Armstong a trompé tout le monde de manière trop parfaite, en vrai gestionnaire du mensonge, et a expliqué de manière étonnamment crédible qu'il était propre. Pourquoi devrait-on le prendre aujourd'hui au sérieux?», s'interroge Marcus Knill.
On peut soupçonner Armstrong de s'être entraîné à argumenter et à dérouler toute la chaîne logique de son discours, ajoute l'expert suisse. Il l'a encore fait, lors de ses aveux, en revenant sur l'image du combattant intrépide qu'il a été durant son enfance et lorsqu'il a dû lutter contre le cancer.
Une gestuelle révélatrice
Malgré son argumentation bien huilée, et bien qu'apparemment détendu sur sa chaise, Lance Armstrong «a laissé transparaître de nombreux signaux montrant que quelque chose ne jouait pas», relève par ailleurs Marcus Knill. Il se tenait par exemple constamment le visage.
«Après avoir parlé, au moment d'écouter les questions, il se pinçait les lèvres de manière singulière, comme s'il voulait se dire à lui-même: fais gaffe de ne rien dire de faux». Son sourire était de même travaillé.
Son flux verbal s'est fait plus hésitant au moment des questions délicates. Tout en répondant, il a régulièrement détourné son regard et perdu le contact visuel avec son interlocutrice, note l'expert.
«On a pu avoir parfois l'impression qu'il cherchait la bonne réponse sur un téléprompteur. Le public capte et interprète ces signaux de manière inconsciente».
Discrédit
Dans certaines de ses réponses, Lance Armstrong s'est par ailleurs discrédité. Tel a été le cas lorsqu'il a affirmé que son don de 125'000 dollars aux autorités de lutte contre le dopage n'était pas une tentative de corruption.
Il en va de même lorsqu'il a déclaré que le doping n'était pas perçu à l'époque comme une tricherie. «De mon point de vue, de telles affirmations le desservent. Elles signalent son incapacité à comprendre la situation et dévalorisent ses aveux». (Newsnet)
Alle sind sich zwar einig:
Integration heisst, die Sprache des Landes lernen.
Wenn wir pro Kind 9000.-- Franken dafür aufwerfen müssen, wird weiderum Kritik laut. Wir fragen uns deshalb: Wie könnte die Eingliederung kostengünstiger erfolgen?
Ich zitiere TAGi-online:
Integration heisst, die Sprache des Landes lernen.
Wenn wir pro Kind 9000.-- Franken dafür aufwerfen müssen, wird weiderum Kritik laut. Wir fragen uns deshalb: Wie könnte die Eingliederung kostengünstiger erfolgen?
Ich zitiere TAGi-online: